J’ai toujours essayé de communiquer avec les animaux. Tout petit, j’étais fasciné par les vaches de ma grand-mère, et à 9 ans, j’ai découvert les poneys et les chevaux pour lesquels je me suis vite «passionné». 

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En 1996, je découvre Pat Parelli à la télévision. Il est une révélation pour moi : enfin je rencontrais quelqu’un qui mettait des mots sur ce que je ressentais. Suite à cette émission, je suis allé en 1997 au premier stage de Pat Parelli en France au Haras de la Cense. J’ai ensuite suivi Pat Parelli dans ses déplacements en France.

 

Depuis, j’ai toujours voulu démocratiser et enseigner cette méthode au plus grand nombre.

 

J’ai donc passé le BP JEPS et obtenu le diplôme en 2005.

 

Début 2006, j’achète dans une écurie de compétition un cheval destiné à l’abattoir malgré ses origines et ses capacités à sauter. Ce cheval, Osman du Ter, très difficile, a été formateur pour moi. Il est désormais une vitrine pour vendre mon savoir et surtout ma philosophie.

 

Cela a pris 3 ans pour pouvoir faire des démonstrations avec lui. Pour y arriver, j’ai continué à me former, entres autres avec Magali Regnier, formée elle-meme par le regretté Ronnie Willis, rien d’autre qu’un des mentors de Pat Parelli !

 

C’est donc qu’en 2009 que je décide de m’installer en moniteur indépendant.

 

En 2010, je suis la formation de Philippe Karl en Arièges en tant qu’auditeur car c’est pour moi une suite logique de l’équitation que j’ai pratiqué jusque là. 

 

En 2011, je débute les concours de sauts d’obstacle avec mon cheval. 

 

En 2012, je commence la formation d’instructeur de l’école de la légèreté avec Philippe Karl.

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En 2015, la préparation intensive à l'examen de l'école révèle des fragilités chez mon cheval qui vont m'amener à arrêter la formation. Je m'intéresse alors davantage aux soins des chevaux. (alimentation, pâture, soins énergétiques, ostéopathiques, stretching...)

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Mon objectif désormais est de réussir à synthétiser ce que j'aime chez Pat Parelli et Philippe Karl mais aussi d'autres approches, et de le transmettre au plus grand nombre. 

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Ces deux hommes ont été essentiels dans mon cheminement équestre mais je tiens à garder ma liberté et ne veux en aucun cas être « étiqueté », que ce soit en « équitation éthologique » ou « école de légèreté ».

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"C'est en travaillant son cheval avec l'idée qu'il soit heureux, qu'on devient moins égoïste et plus généreux. » Nuno Oliveira